La bande annonce d’Asterix aux Jeux Olympiques présageait un épisode aussi mythique que le Mission Cléopatre de Chabat. Après deux tentatives avortées part des ‘COMPLET’ sur l’écran de programmation, j’ai enfin réussi à aller voir les élucubrations de Benoit Poelvoorde (dans le rôle de Brutus).
» Pour remporter les Jeux Olympiques et permettre au jeune Alafolix d’épouser la Princesse Irina, Astérix et Obélix devront affronter le machiavélique Brutus, fils de César, au cours d’une Olympiade. » (source: allocine.fr)
Manque de rythme, scénario (mal) aménagé pour les célébrités venues se montrer genre Delon (César). On a droit a des scènes spectaculaires avec des effets spéciaux de qualité, mais ce n’est pas assez important pour combler la tonne de lacunes de cet épisode d’Astérix.
Cornillac est complètement naze en Astérix, Obélix devient soudainement l’intelligent du duo, Panoramix à l’air complètement sénile, Sim est à l’agonie dans Agecanonix, Karembeu fait limite grosse catin… C’est le brave Ben qui s’en sort le mieux… A un point que le film perd sa maigre valeur dès que son personnage (Brutus) est hors-champ.
Scénario clairement trop court, parsemé de rare vrai gag (et surtout gag droles…) mais nettement inférieur à ce dont son capable des Simoun, Astier, Poelvoorde ou Jamel.
J’avoue qu’a l’entracte, j’ai eu envie de quitter la salle… C’est vous dire…
Le meilleur moment du film à mon sens, se situe à la fin lorsque pendant la fête remplacant le banquet traditionnel de fin d’épisode (concept repompé de Mission Cléopatre), où Jamel (toujours de Mission Cléopâtre…) vient faire une apparition et nous gratifie de son mortel « Astériiiiksme » et « Pamanomalikmse« . Pis après ca dévie avec des apparitions de Zidane, Mauresmo et Parker (sympa, mais un peu longues et pas méga droles…)
L’autre scène sympa est celle de la course de char avec Schumi et Jean Todt.
Note:
8/20